mardi 13 septembre 2011

From non-objectif to site specific/ miedzy-przestrzen

Elblag
Galerie El
Jacques Weyer

Bogumila Strojna


Margaret Roberts, Bogumila Strojna

Margaret Roberts, Jacek Przybyszewski, Charles Payan
Jacek Przybyszewski


Charles Payan

Roland Orepuk

Marcus Bering


Pam Aitken, Margaret Roberts

John Adair

Richard va der Aa



exposition collective/group show, du 9/09 au 6/10, 2011 en Pologne, Elblag, Galerie EL
Miedzy - przestrzen / From non objectif to site specific
avec
Richard van der Aa John Adair Pam Aitken
Marcus Bering
Roland Orepuk Charles Payan Jacek Przybyszewski Margaret Roberts Bogumila Strojna Jacques Weyer

dimanche 20 mars 2011

Offspring / Exposition à ParisConcret, 5 rue des Immeubles Industriels, 75011 Paris / 12 mars - 2 avril 2011 / mercredi au samedi 14h/18h


Judith Duquemin, Triptych: Paintings for Reconstruction, 2011

Joceline Santos, Light 2011





















B.Strojna

Je continue à explorer dans cette série la notion de la polysémie de la perception de l’objet / œuvre d’art, tentant de dépasser la compréhension (entendement) de la peinture comme tableau ou de la sculpture comme objet dans l’espace.

Je propose ainsi (liste non exhaustive) : l’objet peint, la couleur dans l’espace, le rectangle blanc sur le mur, le relief d’angle, l’espace connu, l’inquiétante familiarité….

J’ai construit une œuvre multiple (sur la base de mes recherches autour de la forme cubique, 6 faces), que j’installe dans l’espace de la galerie, qui m’est imparti, et que j’investis dans sa totalité (haut, bas, droite, gauche, plafond, sol …). Je modifie chaque fois la position de l’objet.

Je fais en sorte que les repères soient perdus.

J’obtiens ainsi des images différentes de l’œuvre, et je transforme également la perception d’un espace familier, le rendant « autre ».

La couleur participe dans ce « jeu » de transformations, elle est posée d’une façon très aqueuse, légère (flottement de la couleur dans l’espace), tout en étant vive et fluorescente.

Le manque ou l’instabilité des repères incite à se poser de questions, et à partir de la rencontre avec l’œuvre, permet d’entrevoir momentanément l’objet dans ce qu’il a d’insaisissable.